Kaoutar Harchi : Vers l’âge de 15 ans. J’habitais chez mes parents. C’est une fenêtre qui s’est ouverte, vers un extérieur que je ne connaissais pas. Me plonger dans son œuvre fût une manière de combler le vide laissé par mes parents. A l’époque, la culture «maghrébine», je ne la connaissais que très peu. Kateb m’a racontée une histoire relative à ces pays-là. Une histoire d’autant plus intéressante qu’elle est véritablement fantasmatique, totalement imaginaire, totalement coupée d’une certaine dimension réelle.
Em entrevista ao The Chronicles | 25 de Novembro de 2013
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