"Radicalement insolite au moment de sa publication, […] l’oeuvre de Kateb, aujourd’hui encore, n’a rien perdu de sa force ni de sa fécondité. Sans elle, ni Mohammed Khaïr-Eddine, ni Rachid Boudjedra, ni Abdelkébir Khatibi, ni Tahar Ben Jelloun, entre bien d’autres, n’auraient sans doute écrit de la même façon. (...)"
Jacques Noiray
Littératures francophones, I. Le Maghreb, Paris, Éditions Belin, 1996, p. 139